Se rendre à Bordeaux depuis Paris

5H20

2H05

580 km
Bordeaux est une ville ou il fait bon vivre. Laure y a résidé pour ses études, elle pourra vous le confirmer !


5H20

2H05

580 km
Bordeaux est une ville ou il fait bon vivre. Laure y a résidé pour ses études, elle pourra vous le confirmer !


4H40

4H45

477 km
Limitrophe avec Angoulins, Châtelaillon offre, à seulement 10 kilomètres de La Rochelle de jolis paysages, une architecture particulièrement typique et préservée et une digue agréable. Un parcours Terra Aventura y est disponible afin de découvrir la ville dans les moindres recoins.


5H30

4H30

583 km
L’église Saint-Jean Baptiste telle qu’elle apparaît dans son architecture actuelle n’est pas une église très ancienne. Les nombreuses transformations et aménagements successifs au cours des âges en ont fait cependant le bel édifice actuel
Le clocher actuel a été construit de 1855 à 1859. Les nouvelles cloches pèsent respectivement 3.5 tonnes, 2 tonnes, 1.05 tonne, 420 kilos et 250 kilos.
Cette place fait partie des huit bastides de Gironde. On y retrouve de nombreux commerces, logés sous les arcades, ainsi que son hôtel-de-ville, surmonté d’une imposante tour horloge. Abel Surchamp, qui a donné son nom à la place, fut le maire de la ville en 1882.
La Tour du Grand Port est l’une des tours de défense d’une ancienne porte ouverte dans le mur d’enceinte de la ville. Les travaux de fortifications de Libourne prirent leur plus grand développement sous le règne d’Edouard III. L’enceinte fortifiée fut commencée en 1281 et terminée en 1341. Ces remparts, flanqués de tours, étaient percés de huit portes dont les quatre principales s’ouvraient aux extrémités des deux grands axes de la ville. La porte du Grand Port, dont la construction remonte au 14e siècle, portait le nom de Porte Richard en l’honneur d’un fils du Prince Noir né à Bordeaux en 1366. Elle s’ouvre entre deux hautes tours rondes : la tour Richard et la tour Barrée. De la porte elle-même subsiste encore des restes importants. Elle formait un large couloir ogival muni de tous les moyens de défense. Seule de toutes les portes de l’enceinte, elle possédait un guichet s’ouvrant la nuit.
Il faut emprunter la petite Rue des Chais pour passer sous la porte et regagner le Quai Souchet.
En continuant sur fronton, on peut voir l’Isle se jeter dans la Dordogne d’un côté, ainsi que le magnifique pont de pierre de l’autre.


4H05

4H00

442 km

Se garer facilement et gratuitement
Square des Lussaut


6H00

4H55

608 km
Sauveterre est une ville pleine de charme, de patrimoines et d’histoire dont Laure est originaire 😉. Elle présente encore aujourd’hui l’aspect caractéristique des bastides avec son plan géométrique, sa place carrée bordée d’arcades et ses quatre portes rectangulaires. Lesdites portes ont traversé les années et sont classées Monuments Historiques. Fondée en 1281 par Édouard 1er, roi d’Angleterre et duc d’Aquitaine, Sauveterre resta anglaise jusqu’en 1320. Elle changea plusieurs fois de nationalité avant de devenir définitivement française en 1451. À l’angle nord-est de la place à couvert se trouve l’église Notre-Dame, bâtie à l’emplacement d’un ancien prieuré bénédictin.
Les portes Lafon, Saint-Léger, Saint-Romain et Saubotte sont classée Monuments Historiques depuis 1892

Se rendre à Nancy depuis Paris

3h35

1h40

350 km
Ville à taille humaine située dans l’Est de la France, chef-lieu de la Meurthe-et-Moselle et capitale de l’Art Nouveau, est renommée pour son patrimoine historique et culturel. La ville est également réputée pour ses mirabelles, ses chardons et ses célèbres macarons.
Bienvenue à Nancy ! Il ne faut pas beaucoup de temps pour s’y rendre par le train depuis Paris et c’est même la meilleure solution pour profiter pleinement d’une journée dans la ville. À notre arrivée, l’impression de calme est assez marquante. Mais pour vous verrez, ça bouge à Nancy. 😉
À quelques centaines de mètres de la gare, au croisement de l’avenue Foch et de la rue Jeanne D’Arc, se trouve la maison du docteur Paul Jacques. Construit au début du 20e siècle par Paul Charbonnier, architecte des Monuments historiques à Nancy, il est un des exemples architecturaux caractéristiques de la ville : ferronnerie réalisée par Louis Majorelle, décor sculpté par Léopold Wolff de Nancy et des verrières signées Jacques Gruber.
Voici l’un des bâtiments les plus emblématiques de la ville de Nancy. Conçue par l’architecte français Henri Sauvage en 1902, cette villa est considérée comme l’un des exemples les plus marquants de l’Art nouveau en France. Son architecture audacieuse et ses détails, tels que ses fenêtres en verre coloré, ses ferronneries, ses éléments en cuivre et en fonte, la rendent tout à fait unique. Sa façade présente également des motifs de feuilles et de fleurs, typiques de l’Art nouveau. À l’intérieur, que nous regrettons de n’avoir pu visiter, la Villa Majorelle est tout aussi remarquable. Les pièces sont décorées avec des motifs floraux, des plafonds peints et des meubles d’époque. Ce sera l’occasion d’y retourner. 😊
Nous poursuivons notre balade à 250 mètres de la Villa Majorelle, où nous étions précédemment. Cette Basilique de style roman byzantin est inspirée par le Sacré-Cœur de Montmartre à Paris. Élevée au rang de basilique mineure en 1905, elle a été érigée grâce au chanoine Henri Blaise à la demande de Charles Francois Turinaz.
Cela fait un moment que nous marchons dans les rues, à contempler les façades des habitations, les petits parcs et autre élément urbain. Et c’est précisément trois kilomètres plus loin, de l’autre côté de la gare, que nous croisons cette église du 19e. L’édifice à la particularité d’avoir une tour plus basse que sa jumelle, pour la raison toute simple que les constructeurs de l’époque n’avaient plus assez de budgets pour l’ériger à la même hauteur que la première.
C’est ici, au 24 rue Lionnois, juste derrière l’église Saint-Pierre, que se trouve l’hôtel particulier Bergeret. Cette jolie demeure n’est pas sans rappeler celles que nous avons vues précédemment : l’hôtel particulier du Docteur Paul Jacques et la Villa Majorelle. Construite au début du 20e siècle par Lucien Weissenburger, on y retrouve des fers forgés par Louis Majorelle, des vitraux de Jacques Gruber et de Georges Janin. Classée aux monuments historiques depuis 1996 c’est un superbe symbole de l’École de Nancy.
La place des Vosges n’est pas vraiment une place, mais plutôt un carrefour crée par l’élargissement des rues avoisinantes. La porte Saint-Nicolas, c’est au 17e siècle la première porte de la Ville-Neuve. C’est par elle que les ducs de Lorraine entrent solennellement dans Nancy le jour de leur avènement. Ils s’arrêtent devant la porte, côté extérieur de la ville, sur la place actuelle et prêtent le serment de maintenir les privilèges des trois ordres.
Il est vrai que j’ai tendance à le dire dans chacun de nos carnets, le meilleur moyen de s’imprégner d’une ville, c’est de se perdre dans les rues, parfois en dehors des principaux spots touristiques et de profiter du patrimoine caché.
Après être passé avenue du 20e Corps, nous voici quai Sainte-Catherine, dans le quartier Rives de Meurthe, ou Stanislas-Meurthe ou Les Deux Rives… Appelez-le comme vous le souhaitez, ce quartier, même par temps maussade est très agréable. On peut se promener le long de l’affluent dans un environnement paisible.
Au bout de la rue Henri Bazin, impossible de manquer l’imposante Porte Sainte-Catherine. Édifiée en 1762 par Richard Mique, la porte Sainte-Catherine fait partie, avec l’Arc de Triomphe, la Porte Stanislas et l’ensemble monumental de la Place Stanislas, du plan d’embellissement de la ville voulu par Stanislas Leszczynski. En 1770, la porte fut déplacée deux cents mètres plus loin que son emplacement originel dans la rue Sainte-Catherine afin de repousser les limites de la ville.
Après être passé sous la porte Saint-Catherine, on remonte la rue éponyme, en direction de la place Stanislas, mais avant ça, petit crochet par la place d’Alliance. Elle doit son nom à l’alliance entre la Maison de Lorraine Habsbourg et la Maison de France. En son centre s’élève une fontaine remarquable, créée par Cyfflé, inspirée de la fontaine du Bernin de la place Navone de Rome. Elle fait partie d’un ensemble du 18e siècle, classé au patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO en 1983. Il est composé de 3 places : La place de l’Alliance ainsi que les Places Stanislas et Place de la Carrière avec l’Arc de Triomphe (que nous verrons dans peu de temps).
Cette fois, nous y sommes ! L’arrivée sur la place Stanislas, en passant sous l’une de ses majestueuses portes dorées, vous plonge dans une certaine ambiance. Voulue par le duc de Lorraine Stanislas Leszczyński, elle est construite entre 1751 et 1755 sous la direction de l’architecte Emmanuel Héré. Il se dit qu’a son inauguration, du vin coulait aux fontaines ! Rien n’est de trop pour la ville, désormais surnommée « la ville aux portes d’Or ». Comme écrit au point précédent, cette place fait partie de l’ensemble classé datant du 18e.
Une fois au centre, on peut facilement identifier l’Hôtel de Ville qui occupe toute sa longueur au sud, puis parmi les quatre autres pavillons se trouve l’Opéra, le Grand Hôtel de la Reine et le Musée des Beaux-Arts.
D’après le classement Lonely Planet, la place Stanislas est la 4e plus belle place du monde. 😊
Inspiré de celui de Septime Sévère de Rome, l’Arc de Triomphe glorifie le roi de France Louis XV représenté en portrait sur un médaillon au sommet de l’édifice. Appelé aujourd’hui « Arc Héré », son nom rappelle l’architecte de Stanislas à qui l’on doit ce monument qui devait faire le lien entre la place Royale, l’actuelle place Stanislas et la place de la carrière, que l’on aperçoit en arrière plan.
Troisième et dernier site de l’ensemble architectural du 18e siècle, la création de cette place remonte en réalité au 16e avant d’être remodelée au 18e. À l’origine, des joutes et des tournois s’y déroulaient, d’où son nom de « Carrière ». Au fond de la place, sur une autre place, celle du Général de Gaulle, s’élève le Palais du Gouvernement. Il est encadré par un hémicycle, orné des divinités antiques, qui hébergeait, sous Stanislas, l’intendant, représentant du roi de France.
On profite de l’accès place du Général de Gaulle pour entrer dans le Parc de la Pépinière. Ce vaste espace arboré de 21 hectares, a également été créé par Stanislas durant le 18e siècle, faisant de lui, un des plus anciens jardins publics de France. Le parc de la Pépinière doit son nom et son plan en damier à sa fonction initiale, celle de pépinière royale, ayant pour but de fournir en arbres les routes lorraines.
En sortant du Parc par la rue Braconnot, nous prenons la direction de la Porte de la Craffe qui se trouve à deux embouchures de là. Cette porte médiévale se trouve être le plus ancien monument du centre historique de Nancy et le seul vestige des fortifications médiévales. Symbole aujourd’hui du quartier de la Vieille Ville, elle fut édifiée au 14e siècle et ses tours ont servi de prison jusqu’au 19e siècle. En empruntant son passage, on peut y découvrir sa superbe voûte de brique et de pierre, restaurée en 2013.
À la sortie de la Porte de la Craffe, il suffit de marcher un peu moins de 100 mètres pour passer sous la porte de la Citadelle. C’est sous les directives du duc Charles III que l’ouvrage a été réalisé au 17e siècle. Elle avait pour rôle de doubler et renforcer la défense de la ville, en complément, quatre bastions l’entouraient et des fossés la séparaient de la porte de la Craffe. La porte délimite aujourd’hui le quartier de la Vieille Ville et le faubourg des Trois Maisons. Le rempart sur le côté est surmonté d’un jardin d’inspiration médiévale.
Encore une ! Nancy serait-elle la ville des portes ?
La porte Désilles qui se dresse devant nous se trouve sur la place de Luxembourg, non loin de la Porte de la Craffe. La porte Neuve fut construite au 18e siècle par l’architecte Didier-Joseph-François Mélin à l’initiative du comte de Stainville, commandant en chef de la Lorraine. Elle devait fermer la perspective du cours Léopold et ouvrir sur la route de Metz. Elle fut également érigée en la mémoire des Nancéiens morts pour l’indépendance américaine, durant la bataille de Yorktown. Elle porta les noms de porte Saint-Louis, porte Stainville, et prit finalement le nom du lieutenant Désilles en mémoire de sa mort tragique lors de « l’affaire de Nancy ».
« L’affaire de Nancy »
À l’été 1790, durant la Révolution française, le mécontentement gronde dans la garnison militaire de Nancy, qui compte alors environ 5 000 hommes. Les soldats réclament leurs soldes, qui ne leur sont plus payées depuis des mois. Malgré l’argent versé, la situation s’envenime. Le 31 août, les troupes du marquis de Bouillé sont dépêchées de Metz pour rétablir l’ordre à Nancy. C’est alors qu’André Désilles, un jeune lieutenant aristocrate, cherche à calmer la situation en s’interposant pour éviter un combat fratricide, entre soldats insurgés et troupes venues rétablir l’ordre. En vain… Désilles se couche sur les canons, mais il ne fait que retarder la mise à feu. Grièvement blessé, il meurt quelques semaines plus tard. Cet épisode appelé « l’affaire de Nancy » fait grand bruit dans tout le pays et bientôt dans toute l’Europe : pour la première fois, les troubles révolutionnaires ont gagné les rangs de l’armée. Les insurgés sont alors considérés comme des criminels, leur répression est terrible. Le courage de Désilles est unanimement salué.
En tournant le dos à la Porte Désilles, et en remontant l’Allée Arlette Gruss, on peut croiser Michel Drouot, enfin… sa statue. Érigée en l’honneur du général français qui a servi pendant la Révolution française et la Guerre de 1870, elle le représente en uniforme, debout et tenant une épée.
Nous voici de retour dans le quartier de la Vieille Ville, à proximité du Palais du Gouvernement ou se situe ce majestueux palais ducal du 16e siècle. Il fut tout d’abord la résidence des ducs de Lorraine. Délaissé au 18e siècle par Léopold qui lui préféra Lunéville, il abrite le musée lorrain depuis 1848. Il abrite une exceptionnelle collection archéologique et médiévale ainsi que les toiles de Georges de La Tour et les gravures de Jacques Callot.
La Maison des Sœurs Macarons installée au 21 rue Gambetta est devenue un lieu de passage incontournable. Elle a été fondée en 1648 par deux religieuses, Sœur Marguerite et Sœur Marie-Antoinette, qui ont commencé à produire des macarons, une spécialité sucrée française. Aujourd’hui dirigée par le pâtissier Nicolas Génot, il s’agit de l’unique confiserie dépositaire de la recette si secrète et si convoitée des véritables macarons de Nancy. La maison est la première entreprise gastronomique lorraine à avoir obtenu le label d’État « EPV Entreprise du patrimoine vivant » en 2012. Bien que les macarons soient la star de la boutique, on y retrouve d’autres confiseries comme les fameuses Bergamotes de Nancy. On vous recommande fortement d’y faire une pause gourmande !
Brasserie L’Excelsior
50 rue Henri-Poincaré
54000 Nancy
Une superbe brasserie au style Art Nouveau, typique du mouvement architectural de la ville où il fait bon de passer le temps avant de reprendre le train. Toutefois, attention à l’addition.


Szia ! Ahoj ! Cześć !
Hello ! Nous voici partis à l’aventure dans les pays d’Europe de l’Est. Nous voulons visiter Budapest et son Danube ainsi que Cracovie et ses alentours, c’est l’occasion de faire une pause à Bratislava.

Aéroport Roissy Charles de Gaulle (CDG)
Le temps est maussade mais l’embarquement se passe bien, nous sommes pressés d’arriver ! 😀

Aéroport de Budapest-Ferenc Liszt (BUD)
L’aéroport de Budapest est un peu surprenant, de longs corridors extérieurs nous mènent aux tapis des bagages. Une fois sortis, nous croisons un groupe de touristes françaises avec qui nous partageons les difficultés pour la prise de tickets du bus-navette rejoignant le centre-ville. 😂

Budapest, Bajcsy-Zsilinszky út 25, 1065 Hongrie
À la sortie du bus, il nous faut marcher quelques centaines de mètres avant de rejoindre notre logement.
Nous récupérons les clés au comptoir comme s’il s’agissait d’un hôtel. Voici notre appartement pour ces deux prochains jours. Grand, haut de plafond, lumineux, chouette ! Et en plus il est parfaitement situé !
1 €
Euro
367 HUF
Forint Hongrois
La monnaie locale, 1 forint hongrois, au moment de notre séjour, est égal à 0,002€, ne voyez donc aucune extravagance à brandir 15 000 ft du porte-monnaie.
À peine avons-nous le temps d’ouvrir les affaires que la ville plonge dans la nuit, alors nous nous dépêchons de partir profiter de la fin de journée.

Budapest, Szent István tér 1, 1051 Hongrie
La Basilique Saint-Étienne de Pest, datant de 1851, est la plus grande église catholique de la ville. Elle semble presque démesurée comparé aux immeubles environnants. En y entrant, nous sommes surpris, des chants de Noël retentissent et des sapins décorés jonchent les travées, incroyable !
En remontant Zrínyi u. en direction du Danube, la basilique montre toujours de sa superbe. Sa flèche domine à 96 mètres, tout comme le Parlement Hongrois, ce qui en fait les bâtiments les plus hauts de Budapest.

Budapest, Széchenyi Lánchíd, 1051 Hongrie
C’est dans un épais brouillard que nous découvrons le fameux Pont de Chaîne reliant Buda et Pest. L’édifice semble vous emmener au début du 20e siècle.
Ce soir nous ne souhaitons pas nous éloigner de trop de l’appartement afin de ne pas rentrer trop tard. Alors après s’être baladé de l’autre côté du Danube, nous retrouvons de nouveau la rive de Pest. De ce côté-ci se trouve le Parlement Hongrois, les Chaussures au bord du Danube, un grand parc et de jolies statues. Nous verrons tout ça demain lorsqu’il fera jour. 🙂

Budapest, Arany János u. 31, 1051 Hongrie
À l’extérieur il fait vraiment froid, nous sommes dimanche soir, beaucoup de restaurants sont fermés alors c’est Pizza ! Néanmoins il faut faire attention à la taille choisie. Ici la pizza peut se révéler très grande ! Les restes serviront de repas le lendemain (et même le surlendemain 😀). Laure a été plus raisonnable que moi dans le choix de sa pizza en prenant la taille intermédiaire.

Budapest, Zrínyi u. 4/A, 1051 Hongrie
Parce que dehors il fait vraiment froid et qu’il n’est pas encore l’heure de rentrer, nous trouvons ce bar-restaurant-discothèque d’ouvert dans la rue menant à la basilique. Parfait, nous allons y boire un verre. Une fois encore, il faut être vigilant sur la taille. Le « bigger one » n’est pas le même qu’en France.
Il est 22h30, nous bravons l’air glacé durant quelques centaines de mètres jusqu’à l’appartement avant de faire un gros dodo.
😴


Guten Tag !
Nous voici repartis pour un weekend à Francfort. Nous avions 4 jours de libres et la destination la plus intéressante et économique sur ces dates était cette ville, ce qui nous ravit puisque nous n’y sommes encore jamais allés et de nombreuses choses sont à découvrir !

Gare de l’Est
Après un réveil de bonne heure et une heure de transport, nous nous empressons de rejoindre la gare à pied, le soleil à peine levé, nous courrons avec nos valises. Dix minutes plus tard, nous arrivons à…
Départ un peu serré, nous avons failli rater le train à 5 minutes près ! Ce n’est pourtant pas faute de toujours être prévoyant, mais ce matin nous avons couru. Les enregistrements se sont terminés juste derrière nous. 😉

Frankfurt (Main) Hauptbahnhof
7 h 20, nous sommes prêts pour l’aventure ! Le trajet aller s’est effectué en TGV et non en ICE, et c’est après 3 h 30 de voyage et un bref passage par Strasbourg que nous parvenons à la gare Centrale de Francfort.
Nous commençons par laisser nos valises à la réception de l’hôtel. Située à seulement 5 minutes à pied de la gare, nous aurions tord de nous encombrer.
Maintenant débute vraiment notre découverte de Francfort, le temps n’est pas de la partie, il pleut, mais qu’importe, il en faudra plus pour nous faire rentrer à l’hôtel. Nous avons repéré au préalable les lieux incontournables de la ville. Nous les démarrons sur le chemin pour nous rendre au centre-ville.

Gallusanlage 7, 60329 Frankfurt-am-Main
Bien pratique pour s’abriter sous les arbres, ce jardin recèle également de superbes statues. L’endroit n’est pas sans rappeler Central Parc. C’est assez amusant.

Nous poursuivons sur la Kaiserstraße et c’est un peu par hasard que nous découvrons, entouré d’immenses buildings, cette jolie place impériale. Dans cet environnement, elle semble avoir résisté au temps.

Kaiserstraße 29, 60311 Frankfurt-am-Main
Voici 5 minutes que nous sommes sortis du parc de Gallusanlange et nous y sommes déjà de retour !
Ici, sûrement l’un des symboles les plus connus de la ville, au pied de cette tour de 148 m de hauteur, siège l’emblème de notre monnaie unique et enseigne de la BCE.

Willy-Brandt-Platz, 60311 Frankfurt-am-Main
En diagonale de la BCE se trouve cette jolie fontaine au style art nouveau. Comme déjà vu en Allemagne, elle a été érigée dans l’esprit des contes de fées. On raconte que la sirène aurait été inspirée de la fille du boulanger francfortois !

Wilhelm-Leuschner-Straße 6, 60329 Frankfurt-am-Main
12 h 30, bien qu’il ne soit pas tard, le réveil est déjà lointain. Pour le premier repas, pas d’aventures culinaires, nous mangeons burger/frites accompagné d’une bière. Le serveur était très sympathique et les plats, bons et copieux.

Nous poursuivons la découverte de Francfort en longeant le Main. Le fleuve offre de vastes quais aménagés et généreusement arborés. Un vrai plaisir d’y déambuler après le repas.

Am Leonhardstor 25, 60311 Frankfurt-am-Main
Malheureusement, cette belle église de quartier n’est pas accessible lors de notre passage. Nous continuons donc notre promenade le long du Main.

Saalgasse 19, 60311 Frankfurt-am-Main
Au gré de notre avancée sur les quais, les gens se font de plus en plus nombreux et l’animation du quartier devient palpable. Cela s’explique par notre proximité avec l’Iron bridge et le quartier de Römer, que nous ne tarderons pas à visiter !

Römerberg 23, 60311 Frankfurt-am-Main
C’est sûrement l’un des deux quartiers les plus connus de Francfort. Les nombreuses maisons à colombages lui donnent des airs de village alsacien.

Römerberg 26, 60311 Frankfurt-am-Main
Et bien évidemment, la place Römer est superbe. On se retrouve entouré de bâtiments aux couleurs chaleureuses, de petits bars-restaurants, l’Église Luthérienne Saint-Nicolas surplombe fièrement le quartier, nous pourrions (et nous allons) y passer un long moment.

Römerberg, 60311 Frankfurt am Main
Après de longues contemplations sur la place Römer, nous apercevons un petit passage menant à cette belle galerie d’art. Sa traversée permet de rejoindre directement la cathédrale Saint-Barthélemy.

Markt 5, 60311 Frankfurt-am-Main
Il s’agit là d’un coup de chance, cette magnifique maison date du Moyen-Âge ! Les premières traces historiques remontent à 1323, le bâtiment fut détruit lors de la Seconde Guerre mondiale. Longtemps laissé à l’abandon, le bâtiment est reconstruit à l’identique et inauguré juste quelques mois auparavant. Sur sa gauche se trouve l’entrée des ruines romaines, nous y reviendrons un peu plus tard.

Domplatz 1, 60311 Frankfurt-am-Main
Assurément la cathédrale la plus impressionnante de la ville, ses voutes rouges ocre sont élancées et semblent ne jamais se terminer. Leurs couleurs et les nombreux lustres offrent une ambiance chaleureuse à l’édifice.

Domstraße 10, 60311 Frankfurt-am-Main
Eh bien nous voici décidés à visiter un musée, mais bien que nous ne soyons pas réfractaires à l’histoire, l’art moderne est toujours très sympathique et divertissant. D’autant que la galerie offre de nombreux points de vue intéressants.

Bendergasse 3, 60311 Frankfurt-am-Main
Comme je vous le disais quelques lignes au-dessus, nous voici de retour aux abords du Goldene Waage. Nous y découvrons l’entrée des ruines romaines de la ville. C’est un site chargé d’histoire que nous vous conseillons vivement.

Konstablerwache, 60313 Frankfurt-am-Main
La culture c’est bien, mais cela passe aussi par la découverte des plats et boissons locales😜. Nous arrivons sur la fin du marché, l’apfelwein est artisanal, délicieux et pas cher ! Curieusement, il est servi dans de vrais verres et non dans des gobelets en plastique. Ceux-là doivent, bien évidement être ramenés au bon stand. Mais pour être tout à fait honnête avec vous, lors de la restitution de notre verre, l’exposant avait plié bagage, nous sommes donc tous les deux repartis avec nos verres… Puis premier hot-dog à la saucisse de Francfort, un déliiiiiice !!

Zeil 106, 60313 Frankfurt-am-Main
À quelques pas du marché se trouve cet immense mall très connu de la ville. Son architecture attire l’œil invitant le passant à y découvrir l’intérieur, bien joué ! Et sans surprise, tout est beau, propre, la ressemblance avec les galeries Lafayette est frappante. À notre plus grand bonheur, nous y retrouvons la vodka noisette et nougat que nous avions goûté lors de notre précédente balade à Amsterdam ! Et restée depuis introuvable en France.

Niddastraße 60-62, 60329 Frankfurt-am-Main
Nous récupérons nos valises à la réception puis découvrons notre jolie chambre avec vue sur la rue.
Le quartier de la gare est souvent décrié et peu recommandé sur internet. Mais bien que ce ne soit pas le plus paisible de la ville, il n’est pas non plus horrible. Et situé à 5 minutes de la gare centrale, c’est réellement un avantage lors des déplacements.
C’est assez exceptionnel, mais ce soir nous n’avons ni appétit ni l’énergie de sortir, alors pour mieux profiter des jours à venir, nous nous couchons tôt.
😴


Buongiorno !
Quelques jours d’un chaud mois d’Août dans la capitale Italienne, pour y découvrir l’incroyable patrimoine historique de la ville

Aéroport Bordeaux Mérignac (BOD)
La première étape du voyage est de rejoindre l’aéroport et de se garer. Sans réservation au préalable, une place nous attend sur le parking P4 de l’aéroport de Mérignac. Dix minutes plus tard, une navette nous récupère pour rejoindre l’aéroport. Nous partons à la recherche du terminal et de la porte d’embarquement pour notre vol Bordeaux – Rome Ciampino. Nous avons réservé sur Ryanair avec une valise cabine pour nos cinq jours de voyage. Une fois les contrôles et check-in passés, nous attendons gentiment notre avion. Malheureusement, nous ne sommes pas à côté pour le vol, mais une petite chance nous sourit lorsque deux sièges sont disponibles. Incognito, nous nous mettons sur la même rangée, le séjour démarre dans de bonnes conditions !

Aéroport Rome Ciampino (CIA)


Via Cola di Rienzo, Rome
Arrivé devant une belle porte d’immeuble privé, j’appelle la dame pour obtenir les clés. Je ne comprends pas tout à l’anglais et le bruit dans la rue ne m’aide pas, mais je parviens à faire le code pour entrer et trouver malgré tout la bonne porte ! Une fois les présentations faites, nous sommes chez nous pour cinq jours ! Il s’avère que l’appartement se trouve dans un joli bâtiment, l’entrée est tapie de marbre du sol au plafond. Il y a même un gardien ! Nous ne sommes pas déçus de notre choix. Ouf !! Le plus dur est passé ! Reste plus qu’à aller manger, vingt heure approche. Après un bref tour sur La Fourchette, nous trouvons un petit restaurant à dix minutes à pieds ! Parfait, nous voici partis pour aller déguster notre premier repas italien !

Via Vespasiano 25-27, 00192 Rome
Nous allons dans un petit restaurant où le serveur parle français ! Nous ne sommes pas les seuls Français en Italie, Rome est très touristique, il n’est pas rare d’entendre parler français ou anglais…
Notre repas se compose d’un apéritif avec des olives noires, du pain et des boulettes de pâte à pizza. Par la suite, nous prenons des pâtes et des encornets de calamars puis une pana cotta au nutella.
À peine l’assiette terminée, le serveur s’empresse de débarrasser. Un peu étonnés, nous avions l’impression que le repas devait vite se terminer. C’est apparemment une pratique courante en Italie, nous nous sommes même amusés à compter le temps en seconde entre la dernière bouchée et l’assiette partie.
Après ce bon repas et une longue journée, les transports, ça fatigue, nous rentrons à l’appartement faire dodo !
😴


Grüss Gott !
Voici un long weekend décidé sur un coup de tête. Vienne est une capitale idéalement taillée pour y passer 2-3 jours. Le trajet se fait rapidement, et la ville est réputée pour sa belle architecture. Parfait !

Aéroport Roissy Charles de Gaulle (CDG)
Le départ approche, nous récupérons nos cartes d’embarquement, passons avec succès les contrôles de sécurité avant de rejoindre la porte D59.
Décollage immédiat !

Aéroport de Vienne-Schwechat (VIE)
Nous y voici ! Nous décidons de suivre les économiques recommandations d’amis ayant déjà visité Vienne et prenons la ligne S7 entre l’aéroport et la ville. Les billets OBB en main nous cherchons la plateforme de notre train. Et c’est là que les choses se sont un peu compliquées. Passe par ici, passe pas par-là, deux trains différents stationnés sur un même quai, nous voici perdus ! Après quelques minutes de réflexion, nous trouvons le bon quai et le bon train. 😊
Le train est particulièrement spacieux et confortable, c’est appréciable après 2 h d’avion.
Le métro U2 lui est facile à trouver. Nous le prenons jusqu’à Traborstraße. La station est située à moins de 200 m de notre hôtel, ce qui est un bon point… Mais qui ne nous servira que pour les liaisons avec aéroport.

Taborstraße 25, 1020 Wien
L’hôtel réservé sur Booking est fidèle à sa description. Notre chambre se trouve au 5e et dernier étage, nous offrant une chouette vue par la fenêtre de toit.
Les valises déposées à l’hôtel, nous repartons dans le centre-ville pour y dîner.

Rotenturmstraße 24, 1010 Wien
Pour dîner, nous n’allons pas bien loin, un restaurant prostré le long du canal du Danube nous convainc. À la carte de nombreuses variantes de schnitzels, voici une bonne entrée en matière !
Après une brève balade digestive le long du canal nous rentrons un peu fatiguer de notre voyage.
😴