Bienvenu à Limoges, ville au patrimoine riche. Porcelaine, art culinaire, architecture… Il y a tant à voir ! Pour ne rien manquer, nous suivons les parcours Terra Aventura. Pour se garer, il est facile de trouver des places gratuites aux alentours du Jardin d’Orsay.
Mairie de Limoges
L’endroit, bien qu’en restauration lors de notre passage, est remarquablement agréable. Un potager urbain y est aménagé, ce n’est pas sans rappeler l’importance de l’art culinaire dans la ville.
Maison du Peuple et Pavillon du Verdurier
Église Saint Pierre du Queyroix
Une façade de style ogival flamboyant datant de 1534, un clocher harmonieux (il servit de modèle pour ceux de Saint-Michel et de Saint-Étienne), un intérieur qui frappe par sa largeur. Quant à lui, le beau vitrail date de 1510 et a été exécuté par Jean Pénicaud.
Place Jourdan et Place Denis Dussoubs
Les carreaux de porcelaine de Limoge Bleu Four
Église Saint Michel des Lions
Deux édifices, l’un roman et l’autre gothique du 13e siècle ont précédé l’église actuelle. Le plan rectangulaire consacre son caractère d’église-halle. Deux lions de granit précèdent l’entrée ; ils servaient, dit-on, à marquer le territoire des abbés de Saint-Martial et des vicomtes de Limoges.
La commune de Castelmoron-d’Albret est la plus petite de France de par sa superficie. Ce petit village ancien s’étend sur seulement trois hectares, mais présente un bel intérêt architectural. Il se situe dans l’Entre-deux-Mers, à une cinquantaine de kilomètres de Bordeaux et à une dizaine de kilomètres de Monségur.
Construit sur un rocher, le village de Castelmoron-d’Albret présente un très intéressant patrimoine architectural d’origine médiéval qui séduira les amateurs de vieilles pierres. Dans ce site, qui semble tout droit sorti du passé, on apprécie la douceur de vivre ainsi que la beauté des maisons et autres monuments qui jalonnent les petites ruelles.
Vieille halle aux grains
Cette jolie petite halle datant du 19e siècle servait autrefois à entreposer du blé.
Du haut des promontoires de la cité, on bénéficie également d’un point de vue imprenable sur les paysages alentours et les fameuses vignes de la Gironde. Idéalement placé, ce village de charme permet de découvrir les autres richesses de la région, qu’elles soient culturelles, historiques ou même gastronomiques.
A moins d’une heure de Bordeaux, Saint-Émilion est la destination idéale pour une balade dépaysante. Elle est réputée pour ses vignobles, sa gastronomie ainsi que pour son patrimoine historique. Le cloître de l’église collégiale est particulièrement typique. Mais surtout, ne repartez pas sans avoir goûté aux macarons et aux cannelés.
local_bar
La Juridiction de Saint-Émilion en chiffres :
• 8 communes • • 7 846 hectares • • 5500 habitants • • 67,5 % de l’aire inscrite produit du vin • • 230 000 hectolitres de vin rouge y sont produits • • 1 200 000 touristes par an •
Cloitre de l’Église collégiale
Rue du Tertre de la Tente
Soyez munis de bonne chaussures, la pente est raide et glissante !
La Tour du Roy
Le seul donjon roman encore intact en Gironde. Situé à l’intérieur des remparts de la cité, l’édifice repose sur un massif rocheux isolé de toutes parts et creusé de grottes naturelles et de carrières exploitées depuis le Moyen-Âge. Du sol de la plus basse terrasse au sommet, on note une hauteur de 32 m. Il est possible de gravir les 118 marches de cette tour afin d’accéder au toit-panorama qui offre une vue imprenable sur la cité. Les historiens divergent sur sa date de construction… En 1224, le Roi de France, Louis VIII, dit le Lion conquit une partie de l’Aquitaine dont le Bordelais. Ses troupes occupaient Saint-Emilion et il aurait confirmé son intention d’y faire construire une fortification intra-muros.
Cependant certains textes indiquent que c’est Henri III Plantagenêt, roi d’Angleterre et Duc d’Aquitaine, qui en 1237, en ordonna la construction, lorsque Saint-Emilion tombe à nouveau sous le contrôle des anglais. Enfin, certains spécialistes disent que ce n’est ni grâce au roi de France, ni grâce au roi d’Angleterre que cette tour a été réalisée mais plutôt grâce à la Jurade. En effet, la tour vise à symboliser le nouveau pouvoir de la commune en empruntant à l’architecture seigneuriale l’édifice le plus caractéristique : le donjon quadrangulaire à contreforts.
De plus, il n’y a pas d’édifice appelé Hôtel de ville, or au 13e siècle, Saint-Emilion est la seconde cité du Bordelais. Ainsi, cette tour a probablement eut la fonction d’Hôtel de ville.
Prévoir 2€ par personnes pour découvrir l’histoire de cette tour et profiter de son toit panoramique.
Célèbre grâce à la muse de Pierre de Ronsard, Hélène de Surgères, la commune de Surgères a connu un essor économique grâce à son industrie agroalimentaire. Considérée comme la « capitale laitière » du Centre-Ouest de la France, elle demeure dominée par les importantes écoles nationales d’industrie laitière et de meunerie. La cité fortifiée présente un intérêt tout particulier de par la conservation de ses différents édifices.
Aujourd’hui encore, la ville est connue et reconnue pour son beurre, au petit goût de noisette.
Enceinte médiévale
La ceinture fortifiée, longue de 600 mètres, date de la fin du 16e siècle. Cette enceinte murale, entourée de douves à l’origine, est flanquée de vingt tours dissemblables et est inscrite comme monument historique depuis 1925. Avec la tour isolée dans les jardins de la mairie et la porte Renaissance, les remparts constituent les restes de l’ancien château.
Le Château
Isolée au milieu du parc, la Tour Hélène fait face au château et à la porte Renaissance. Elle est nommée ainsi en hommage à Hélène de Fonsèque, dame de Surgères et muse de Ronsard. Cette tour ronde est en fait un vestige de l’important château de pierre qui avait été édifié au cours du 12e siècle. Quant à la porte Renaissance, il s’agit d’une belle construction du 17e dont la décoration est empruntée au siècle précédent, celui de la Renaissance. Cette porte était destinée à marquer l’entrée du domaine privé du château.
L’ancien presbytère et la roseraie
Cet édifice de l’époque classique, postérieur à la construction de l’Intendance, est l’ancien presbytère occupé dès 1801 par la municipalité, puis acheté en 1861.
L’église Notre-Dame de Surgères
Ce remarquable édifice religieux est situé à l’intérieur de l’enceinte médiévale et offre une spectaculaire façade de 23 mètres de longueur ornée du pur style saintongeais roman.
Alors que cette magnifique façade menaçait ruine, elle a été sauvée d’une destruction certaine grâce à l’intervention énergique de Prosper Mérimée en 1841. Elle est depuis lors classée monument historique au même titre que les différents bâtiments civils situés à l’intérieur de l’enceinte fortifiée du château de Surgères.
À Royan, il est facile de se garer près de la plage du Chay, il faut longer la côte en passant par le bunker pour rejoindre le port de la ville. La balade côtière en vaut le coup, les pêcheries sont ravissantes.
Église Notre-Dame de Royan
Vertigineux. C’est ce qui décrirait le mieux cet immense bloc de béton de 66 mètres de hauteur. Sa grâce se trouve à l’intérieur. Les vitraux en forme de losange, l’orgue aux 3600 tuyaux, ses gigantesques verrières et même sa nef en forme de selle de cheval nous emmènent dans un autre monde. C’est incroyable.
Autour de 1475, Jehan II de Latour fait construire une forteresse composée de deux corps de logis, avec quatre puissantes tours et un donjon massif. Ce château fort, construit en forme de triangle sur un éperon rocheux, est naturellement défendu par le marais. Au nord, en avancée, la tour de la Fuye monte la garde.
Les extérieurs
L’intérieur
En 1603, Jacques de Courbon, ayant épousé Jeanne de Gombaud en 1595, libère totalement Romette d’une indivision de cent treize ans. C’est alors qu’accordant les vocables de La Roche et de Courbon, apparaît La Roche-Courbon qui sera désormais le nom du lieu. C’est au 17e siècle que le petit-fils de Jacques de Courbon transforme le château tel qu’il se trouve être actuellement.
Les grottes de La Roche-Courbon
Il faut s’éloigner du château en marchant quelques minutes pour accéder à un vaste réseau de grottes aux monumentales entrées. C’est là que s’installèrent, successivement, les hommes des époques moustériennes (120 000 ans), aurignaciennes ( 40 000 ans) et magdaléniennes (10 000 ans).
Les fouilles pratiquées ont permis de retrouver, dans une couche aurignacienne des grottes, le squelette d’un homme logiquement daté de cette époque ; mais des analyses récentes l’ont considérablement rajeuni puisqu’il a pu être précisé que cet homme est mort aux environs de l’an zéro de notre ère. Lui aussi est présenté dans le musée. Il est la charnière entre la Préhistoire et l’Histoire Un important mobilier de ces populations y a été trouvé.
Comptez environ 12,50€ par adulte pour la visite du château et des jardins
L’église Saint-Jean Baptiste telle qu’elle apparaît dans son architecture actuelle n’est pas une église très ancienne. Les nombreuses transformations et aménagements successifs au cours des âges en ont fait cependant le bel édifice actuel
Le clocher actuel a été construit de 1855 à 1859. Les nouvelles cloches pèsent respectivement 3.5 tonnes, 2 tonnes, 1.05 tonne, 420 kilos et 250 kilos.
Place Abel Surchamp
Cette place fait partie des huit bastides de Gironde. On y retrouve de nombreux commerces, logés sous les arcades, ainsi que son hôtel-de-ville, surmonté d’une imposante tour horloge. Abel Surchamp, qui a donné son nom à la place, fut le maire de la ville en 1882.
Quai Souchet
La Tour du Grand Port est l’une des tours de défense d’une ancienne porte ouverte dans le mur d’enceinte de la ville. Les travaux de fortifications de Libourne prirent leur plus grand développement sous le règne d’Edouard III. L’enceinte fortifiée fut commencée en 1281 et terminée en 1341. Ces remparts, flanqués de tours, étaient percés de huit portes dont les quatre principales s’ouvraient aux extrémités des deux grands axes de la ville. La porte du Grand Port, dont la construction remonte au 14e siècle, portait le nom de Porte Richard en l’honneur d’un fils du Prince Noir né à Bordeaux en 1366. Elle s’ouvre entre deux hautes tours rondes : la tour Richard et la tour Barrée. De la porte elle-même subsiste encore des restes importants. Elle formait un large couloir ogival muni de tous les moyens de défense. Seule de toutes les portes de l’enceinte, elle possédait un guichet s’ouvrant la nuit.
Il faut emprunter la petite Rue des Chais pour passer sous la porte et regagner le Quai Souchet.
En continuant sur fronton, on peut voir l’Isle se jeter dans la Dordogne d’un côté, ainsi que le magnifique pont de pierre de l’autre.
Sauveterre est une ville pleine de charme, de patrimoines et d’histoire dont Laureest originaire 😉. Elle présente encore aujourd’hui l’aspect caractéristique des bastides avec son plan géométrique, sa place carrée bordée d’arcades et ses quatre portes rectangulaires. Lesdites portes ont traversé les années et sont classées Monuments Historiques. Fondée en 1281 par Édouard 1er, roi d’Angleterre et duc d’Aquitaine, Sauveterre resta anglaise jusqu’en 1320. Elle changea plusieurs fois de nationalité avant de devenir définitivement française en 1451. À l’angle nord-est de la place à couvert se trouve l’église Notre-Dame, bâtie à l’emplacement d’un ancien prieuré bénédictin.
account_balance
Les portes Lafon, Saint-Léger, Saint-Romain et Saubotte sont classée Monuments Historiques depuis 1892
La Rochelle, ville côtière incontournable ou il fait bon de se balader sans modération ! Son vieux-port est connu pour avoir été le point de départ de nombreux explorateurs mais aussi pour ses colossales tours. Derrière les portes du port se trouve une pittoresque ville à l’architecture du 17e siècle recelant de nombreux point d’intérêt. On vous laisse découvrir !
Église Saint-Sauveur de La Rochelle
L’église Saint-Sauveur a connu un passé des plus mouvementés. Elle fut construite au 12e siècle par les moines de l’ile d’Aix. En 1419, elle fut ravagée par un incendie, puis reconstruite. En 1568, la paroisse fut à nouveau détruite par les protestants rochelais. Une troisième église Saint-Sauveur fut achevée en 1669. En 1705, le portail est le seul vestige de l’incendie qui dévasta cette fois encore l’édifice. L’église actuelle, la quatrième église Saint-Sauveur, date de 1718.
Place des Petits-Bancs et Rue du Palais
Un des quartiers emblématiques de La Rochelle. Une fois la porte de la Grosse Horloge franchie, une jolie place s’y découvre. Une statue d’Eugene Fromentin faite de bronze et de calcaire y siège fièrement. Il faut ensuite prendre la rue du Palais pour profiter des magnifiques arcades moyenâgeuses et ses nombreux commerces.
Cathédrale Saint-Louis
Cette cathédrale à l’histoire toute particulière n’a en réalité jamais été achevée. Ses plans ont été dressés sous le règne de Louis XV, en 1741, par Jacques V Gabriel, premier architecte du Roi. En 1789, les travaux ne sont pas terminés. Gabriel avait prévu l’édification de deux tours de part et d’autre de la façade ; dont les plateformes sont visibles depuis le parvis. Quant aux travaux d’intérieur, ils ne sont finis qu’en 1893 avec la mise en place des derniers vitraux.
Quartier du marché
La rue Gargoulleau, à gauche du parvis de la cathédrale, mène tout droit au quartier du marché et sa splendide halle du 19e. Un incontournable de la ville pour y retrouver les spécialités régionales.
Hôtel de Ville de La Rochelle
Ce remarquable hôtel de ville héberge la mairie de La Rochelle depuis 1298 ! il est pour cette raison le plus ancien hôtel de ville français encore en fonction. Sur le parvis se trouve la statue de Jean Guiton, maire de la ville lors du siège de 1628.
Tour Saint-Nicolas, Tour de la Chaîne, Tour de la Lanterne
Le développement de cette ville neuve du 11e siècle est assuré dès le 13e siècle par la protection qu’offrent les tours, notamment les tours Saint-Nicolas et de la Chaîne qui régulent l’entrée des nombreux navires de commerce dans son port. Toutes les trois conçues pour servir de résidence, deux tours sur trois (à savoir la tour Saint-Nicolas et la tour de la Chaîne) ont également été des lieux de détention entre le 16e et le 19e siècle. La tour de la Lanterne quant à elle servait à désarmer les bateaux en amont du port et avait une fonction de phare.
monetization_on
Prévoyez environ 9,50€ pour l’entrée individuelle.
Aquarium La Rochelle
Au centre de la ville, face au Vieux-Port, se trouve l’un des plus grands aquariums d’Europe. Il faut prévoir environ 2 heures pour prendre le temps de s’égarer parmi les poissons, les requins, les tortues… Il n’y a pas moins de 12 000 animaux présents sur les lieux. Un vrai paradis.
monetization_on
Comptez environ 16,50€ par adultes pour cette visite.