Bordeaux, chef-lieu de la Gironde, est célèbre pour son patrimoine architectural, ses vins de renommée mondiale et sa gastronomie. C’est une ville dynamique avec une vie culturelle riche, des musées, des festivals et des événements. Bordeaux est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO pour son centre historique et ses monuments.
Castelmoron-d’Albret est le plus petit (et le plus charmant) village de France. Connu pour son église romane, son donjon médiéval et son environnement rural paisible. La ville, essentiellement piétonne ce qui rend la visite très agréable.
Gujan-Mestras est une ville située dans le Sud-Ouest de la France, en Gironde. Elle est connue pour ses sept ports ostréicoles, qui font d’elle la capitale de l’ostréiculture française.
La Dune du Pilat est la plus grande dune de sable d’Europe, située sur la côte atlantique française, à proximité d’Arcachon. Haute de 110 mètres, elle offre une vue imprenable sur l’océan et la forêt de pins environnante. Très prisée des touristes, elle constitue un lieu de randonnée et d’escalade, ainsi qu’un spot de parapente.
Libourne est la charmante ville du Père Noël, connue pour son architecture médiévale et ses célèbres vignobles environnants. Ses rues pavées, l’église Saint-Jean-Baptiste et le marché couvert du 13e siècle participent au dynamisme de la ville.
Saint-Émilion est une petite ville située dans la région viticole de Bordeaux, célèbre pour son vin rouge de haute qualité. La ville a une architecture médiévale remarquable dont une église monolithe souterraine. Les visiteurs peuvent déguster des vins locaux et profiter de la cuisine locale. Saint-Émilion est un site du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1999.
Saint-Macaire est une charmante ville médiévale célèbre pour ses maisons à colombages, ses ruelles pavées et ses vestiges de l’époque médiévale. Elle est également connue pour sa gastronomie et son vin, ainsi que pour ses événements culturels et artistiques.
Sainte-Foy-La-Grande est une charmante ville située sur la rive droite de la Dordogne. Elle est connue pour son marché traditionnel animé, son patrimoine architectural médiéval et sa vue imprenable sur la vallée de la Dordogne. Elle est également un point de départ idéal pour découvrir les vignobles bordelais et les villages pittoresques de la région.
Sauveterre de Guyenne est une des dernières bastides de Gironde, Son patrimoine historique, comprenant des remparts médiévaux et leurs tours sont à découvrir. Se balader dans cette ville en flânant dans ses rues pittoresques est agréable.
Même si on ne l’aperçoit jamais, l’Océan est omniprésent à Rochefort. Créée au 17e siècle, la ville doit à Louis XIV son riche passé maritime et son arsenal où se préparaient les grandes expéditions. La commune de Pierre Loti est également célèbre pour son pont transbordeur, un ouvrage reflétant la grandeur et le faste de l’époque.
L’Hermione
Célèbre reconstruction d’un trois-mâts du 18e siècle, l’Hermione mesure 44 mètres de long et 56 mètres de hauteur. Traversez les expositions sur ses voyages, son équipage et la vie à bord. Faites le tour de ses ateliers de maintenance et le chantier de restauration de bateaux traditionnels. Vous pourrez aussi accéder aux deux ponts supérieurs de la frégate !
Labyrinthe des batailles navales
Allez vous perdre dans ce joli labyrinthe. Retour en enfance garanti ! Conseille aux personnes de grandes tailles, faites-vous petits ou bien vous servirez de guide à tout le monde. 😀
Corderie Royale
Comme son nom l’indique, la corderie est un endroit ou l’on fabrique les cordages nécessaires aux bateaux à voile de la marine de guerre. Elle est implantée au sein d’un vaste arsenal maritime qui réunit magasins, fonderie, forges, poudrière, formes de radoub pour la réparation des navires. Le bâtiment classé au patrimoine mondial de l’UNESCO mesure pas moins de 374 m de long, soit 50 m de plus que la hauteur de la Tour Eiffel !
Autour de 1475, Jehan II de Latour fait construire une forteresse composée de deux corps de logis, avec quatre puissantes tours et un donjon massif. Ce château fort, construit en forme de triangle sur un éperon rocheux, est naturellement défendu par le marais. Au nord, en avancée, la tour de la Fuye monte la garde.
Les extérieurs
L’intérieur
En 1603, Jacques de Courbon, ayant épousé Jeanne de Gombaud en 1595, libère totalement Romette d’une indivision de cent treize ans. C’est alors qu’accordant les vocables de La Roche et de Courbon, apparaît La Roche-Courbon qui sera désormais le nom du lieu. C’est au 17e siècle que le petit-fils de Jacques de Courbon transforme le château tel qu’il se trouve être actuellement.
Les grottes de La Roche-Courbon
Il faut s’éloigner du château en marchant quelques minutes pour accéder à un vaste réseau de grottes aux monumentales entrées. C’est là que s’installèrent, successivement, les hommes des époques moustériennes (120 000 ans), aurignaciennes ( 40 000 ans) et magdaléniennes (10 000 ans).
Les fouilles pratiquées ont permis de retrouver, dans une couche aurignacienne des grottes, le squelette d’un homme logiquement daté de cette époque ; mais des analyses récentes l’ont considérablement rajeuni puisqu’il a pu être précisé que cet homme est mort aux environs de l’an zéro de notre ère. Lui aussi est présenté dans le musée. Il est la charnière entre la Préhistoire et l’Histoire Un important mobilier de ces populations y a été trouvé.
Comptez environ 12,50€ par adulte pour la visite du château et des jardins
Ce joli lavoir se situe Rue des Fontaines, en face du parking.
Place de l’Abbaye
Certainement l’endroit le plus pittoresque de la ville. La place est jonchée de petits bars, cafés, restaurants et boutiques en tout genre. Un de nos endroits coup de cœur.
Eglise abbatiale de Cadouin et son cloître
À Cadouin, l’abbaye cistercienne, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO comme étape sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, a conservé l’ensemble de ses bâtiments qui témoignent de l’évolution architecture et spirituelle depuis le 12e siècle.
En 1119, l’abbé de Pontigny envoie douze moines à Cadouin, où la construction de l’abbaye commence aussitôt. Elle sera terminée en 1154, date de sa consécration. Dès son origine, l’abbaye possède une étoffe précieuse qui passa longtemps pour être le Saint Suaire.
Panorama
Si la motivation vous en prend, n’hésitez pas à emprunter l’escalier étroit situé au 11 Rue de la Fontaine, celui-ci vous mènera aux terrasses supérieur offrant un magnifique panorama sur la ville.
Un Air de Campagne
18 Rue Albert de Veer, 24480 Le Buisson-de-Cadouin
Une jolie table à la cuisine traditionnelle et généreuse.
LALINDE
Sur la route venant de Bergerac et à 15km de Cadoun, nous vous conseillons une pause à Lalinde, la vue sur la Dordogne et la clocher de la ville en vaut le coup.
Couthures est une adorable petite ville, bien que son histoire ne soit pas très détaillée, il est certain que dans le passé, cette ville avait pour vocation la culture des terres.
Meilhan-sur-Garonne est une petite ville pittoresque du Lot-et-Garonne, située sur les rives de la Garonne. La ville possède un riche patrimoine historique, avec des églises romanes, un château et des maisons à colombages.
Ville à taille humaine située dans l’Est de la France, chef-lieu de la Meurthe-et-Moselle et capitale de l’Art Nouveau, est renommée pour son patrimoine historique et culturel. La ville est également réputée pour ses mirabelles, ses chardons et ses célèbres macarons.
Gare de Nancy
Bienvenue à Nancy ! Il ne faut pas beaucoup de temps pour s’y rendre par le train depuis Paris et c’est même la meilleure solution pour profiter pleinement d’une journée dans la ville. À notre arrivée, l’impression de calme est assez marquante. Mais pour vous verrez, ça bouge à Nancy. 😉
Hôtel particulier du Docteur Paul Jacques
À quelques centaines de mètres de la gare, au croisement de l’avenue Foch et de la rue Jeanne D’Arc, se trouve la maison du docteur Paul Jacques. Construit au début du 20e siècle par Paul Charbonnier, architecte des Monuments historiques à Nancy, il est un des exemples architecturaux caractéristiques de la ville : ferronnerie réalisée par Louis Majorelle, décor sculpté par Léopold Wolff de Nancy et des verrières signées Jacques Gruber.
Villa Majorelle
Voici l’un des bâtiments les plus emblématiques de la ville de Nancy. Conçue par l’architecte français Henri Sauvage en 1902, cette villa est considérée comme l’un des exemples les plus marquants de l’Art nouveau en France. Son architecture audacieuse et ses détails, tels que ses fenêtres en verre coloré, ses ferronneries, ses éléments en cuivre et en fonte, la rendent tout à fait unique. Sa façade présente également des motifs de feuilles et de fleurs, typiques de l’Art nouveau. À l’intérieur, que nous regrettons de n’avoir pu visiter, la Villa Majorelle est tout aussi remarquable. Les pièces sont décorées avec des motifs floraux, des plafonds peints et des meubles d’époque. Ce sera l’occasion d’y retourner. 😊
Basilique du Sacré-Cœur de Nancy
Nous poursuivons notre balade à 250 mètres de la Villa Majorelle, où nous étions précédemment. Cette Basilique de style roman byzantin est inspirée par le Sacré-Cœur de Montmartre à Paris. Élevée au rang de basilique mineure en 1905, elle a été érigée grâce au chanoine Henri Blaise à la demande de Charles Francois Turinaz.
Église Saint-Pierre
Cela fait un moment que nous marchons dans les rues, à contempler les façades des habitations, les petits parcs et autre élément urbain. Et c’est précisément trois kilomètres plus loin, de l’autre côté de la gare, que nous croisons cette église du 19e. L’édifice à la particularité d’avoir une tour plus basse que sa jumelle, pour la raison toute simple que les constructeurs de l’époque n’avaient plus assez de budgets pour l’ériger à la même hauteur que la première.
Hôtel Particulier Bergeret
C’est ici, au 24 rue Lionnois, juste derrière l’église Saint-Pierre, que se trouve l’hôtel particulier Bergeret. Cette jolie demeure n’est pas sans rappeler celles que nous avons vues précédemment : l’hôtel particulier du Docteur Paul Jacques et la Villa Majorelle. Construite au début du 20e siècle par Lucien Weissenburger, on y retrouve des fers forgés par Louis Majorelle, des vitraux de Jacques Gruber et de Georges Janin. Classée aux monuments historiques depuis 1996 c’est un superbe symbole de l’École de Nancy.
Place des Vosges
La place des Vosges n’est pas vraiment une place, mais plutôt un carrefour crée par l’élargissement des rues avoisinantes. La porte Saint-Nicolas, c’est au 17e siècle la première porte de la Ville-Neuve. C’est par elle que les ducs de Lorraine entrent solennellement dans Nancy le jour de leur avènement. Ils s’arrêtent devant la porte, côté extérieur de la ville, sur la place actuelle et prêtent le serment de maintenir les privilèges des trois ordres.
Les rues nancéiennes
Il est vrai que j’ai tendance à le dire dans chacun de nos carnets, le meilleur moyen de s’imprégner d’une ville, c’est de se perdre dans les rues, parfois en dehors des principaux spots touristiques et de profiter du patrimoine caché.
Quai Sainte-Catherine
Après être passé avenue du 20e Corps, nous voici quai Sainte-Catherine, dans le quartier Rives de Meurthe, ou Stanislas-Meurthe ou Les Deux Rives… Appelez-le comme vous le souhaitez, ce quartier, même par temps maussade est très agréable. On peut se promener le long de l’affluent dans un environnement paisible.
Porte Sainte-Catherine
Au bout de la rue Henri Bazin, impossible de manquer l’imposante Porte Sainte-Catherine. Édifiée en 1762 par Richard Mique, la porte Sainte-Catherine fait partie, avec l’Arc de Triomphe, la Porte Stanislas et l’ensemble monumental de la Place Stanislas, du plan d’embellissement de la ville voulu par Stanislas Leszczynski. En 1770, la porte fut déplacée deux cents mètres plus loin que son emplacement originel dans la rue Sainte-Catherine afin de repousser les limites de la ville.
Place d’Alliance
Après être passé sous la porte Saint-Catherine, on remonte la rue éponyme, en direction de la place Stanislas, mais avant ça, petit crochet par la place d’Alliance. Elle doit son nom à l’alliance entre la Maison de Lorraine Habsbourg et la Maison de France. En son centre s’élève une fontaine remarquable, créée par Cyfflé, inspirée de la fontaine du Bernin de la place Navone de Rome. Elle fait partie d’un ensemble du 18e siècle, classé au patrimoine mondial de l’Humanité par l’UNESCO en 1983. Il est composé de 3 places : La place de l’Alliance ainsi que les Places Stanislas et Place de la Carrière avec l’Arc de Triomphe (que nous verrons dans peu de temps).
Place Stanislas
Cette fois, nous y sommes ! L’arrivée sur la place Stanislas, en passant sous l’une de ses majestueuses portes dorées, vous plonge dans une certaine ambiance. Voulue par le duc de Lorraine Stanislas Leszczyński, elle est construite entre 1751 et 1755 sous la direction de l’architecte Emmanuel Héré. Il se dit qu’a son inauguration, du vin coulait aux fontaines ! Rien n’est de trop pour la ville, désormais surnommée « la ville aux portes d’Or ». Comme écrit au point précédent, cette place fait partie de l’ensemble classé datant du 18e.
Une fois au centre, on peut facilement identifier l’Hôtel de Ville qui occupe toute sa longueur au sud, puis parmi les quatre autres pavillons se trouve l’Opéra, le Grand Hôtel de la Reine et le Musée des Beaux-Arts.
D’après le classement Lonely Planet, la place Stanislas est la 4e plus belle place du monde. 😊
Arc Héré
Inspiré de celui de Septime Sévère de Rome, l’Arc de Triomphe glorifie le roi de France Louis XV représenté en portrait sur un médaillon au sommet de l’édifice. Appelé aujourd’hui « Arc Héré », son nom rappelle l’architecte de Stanislas à qui l’on doit ce monument qui devait faire le lien entre la place Royale, l’actuelle place Stanislas et la place de la carrière, que l’on aperçoit en arrière plan.
Place de la Carrière
Troisième et dernier site de l’ensemble architectural du 18e siècle, la création de cette place remonte en réalité au 16e avant d’être remodelée au 18e. À l’origine, des joutes et des tournois s’y déroulaient, d’où son nom de « Carrière ». Au fond de la place, sur une autre place, celle du Général de Gaulle, s’élève le Palais du Gouvernement. Il est encadré par un hémicycle, orné des divinités antiques, qui hébergeait, sous Stanislas, l’intendant, représentant du roi de France.
Parc de la Pépinière
On profite de l’accès place du Général de Gaulle pour entrer dans le Parc de la Pépinière. Ce vaste espace arboré de 21 hectares, a également été créé par Stanislas durant le 18e siècle, faisant de lui, un des plus anciens jardins publics de France. Le parc de la Pépinière doit son nom et son plan en damier à sa fonction initiale, celle de pépinière royale, ayant pour but de fournir en arbres les routes lorraines.
Porte de la Craffe
En sortant du Parc par la rue Braconnot, nous prenons la direction de la Porte de la Craffe qui se trouve à deux embouchures de là. Cette porte médiévale se trouve être le plus ancien monument du centre historique de Nancy et le seul vestige des fortifications médiévales. Symbole aujourd’hui du quartier de la Vieille Ville, elle fut édifiée au 14e siècle et ses tours ont servi de prison jusqu’au 19e siècle. En empruntant son passage, on peut y découvrir sa superbe voûte de brique et de pierre, restaurée en 2013.
Porte de la Citadelle
À la sortie de la Porte de la Craffe, il suffit de marcher un peu moins de 100 mètres pour passer sous la porte de la Citadelle. C’est sous les directives du duc Charles III que l’ouvrage a été réalisé au 17e siècle. Elle avait pour rôle de doubler et renforcer la défense de la ville, en complément, quatre bastions l’entouraient et des fossés la séparaient de la porte de la Craffe. La porte délimite aujourd’hui le quartier de la Vieille Ville et le faubourg des Trois Maisons. Le rempart sur le côté est surmonté d’un jardin d’inspiration médiévale.
Porte Désilles
Encore une ! Nancy serait-elle la ville des portes ?
La porte Désilles qui se dresse devant nous se trouve sur la place de Luxembourg, non loin de la Porte de la Craffe. La porte Neuve fut construite au 18e siècle par l’architecte Didier-Joseph-François Mélin à l’initiative du comte de Stainville, commandant en chef de la Lorraine. Elle devait fermer la perspective du cours Léopold et ouvrir sur la route de Metz. Elle fut également érigée en la mémoire des Nancéiens morts pour l’indépendance américaine, durant la bataille de Yorktown. Elle porta les noms de porte Saint-Louis, porte Stainville, et prit finalement le nom du lieutenant Désilles en mémoire de sa mort tragique lors de « l’affaire de Nancy ».
« L’affaire de Nancy »
À l’été 1790, durant la Révolution française, le mécontentement gronde dans la garnison militaire de Nancy, qui compte alors environ 5 000 hommes. Les soldats réclament leurs soldes, qui ne leur sont plus payées depuis des mois. Malgré l’argent versé, la situation s’envenime. Le 31 août, les troupes du marquis de Bouillé sont dépêchées de Metz pour rétablir l’ordre à Nancy. C’est alors qu’André Désilles, un jeune lieutenant aristocrate, cherche à calmer la situation en s’interposant pour éviter un combat fratricide, entre soldats insurgés et troupes venues rétablir l’ordre. En vain… Désilles se couche sur les canons, mais il ne fait que retarder la mise à feu. Grièvement blessé, il meurt quelques semaines plus tard. Cet épisode appelé « l’affaire de Nancy » fait grand bruit dans tout le pays et bientôt dans toute l’Europe : pour la première fois, les troubles révolutionnaires ont gagné les rangs de l’armée. Les insurgés sont alors considérés comme des criminels, leur répression est terrible. Le courage de Désilles est unanimement salué.
Statue du Général Drouot — Allée Arlette Gruss
En tournant le dos à la Porte Désilles, et en remontant l’Allée Arlette Gruss, on peut croiser Michel Drouot, enfin… sa statue. Érigée en l’honneur du général français qui a servi pendant la Révolution française et la Guerre de 1870, elle le représente en uniforme, debout et tenant une épée.
Musée Lorrain — Palais des Ducs de Lorraine
Nous voici de retour dans le quartier de la Vieille Ville, à proximité du Palais du Gouvernement ou se situe ce majestueux palais ducal du 16e siècle. Il fut tout d’abord la résidence des ducs de Lorraine. Délaissé au 18e siècle par Léopold qui lui préféra Lunéville, il abrite le musée lorrain depuis 1848. Il abrite une exceptionnelle collection archéologique et médiévale ainsi que les toiles de Georges de La Tour et les gravures de Jacques Callot.
Les rues de la Vieille Ville
Maison des Sœurs Macarons
La Maison des Sœurs Macarons installée au 21 rue Gambetta est devenue un lieu de passage incontournable. Elle a été fondée en 1648 par deux religieuses, Sœur Marguerite et Sœur Marie-Antoinette, qui ont commencé à produire des macarons, une spécialité sucrée française. Aujourd’hui dirigée par le pâtissier Nicolas Génot, il s’agit de l’unique confiserie dépositaire de la recette si secrète et si convoitée des véritables macarons de Nancy. La maison est la première entreprise gastronomique lorraine à avoir obtenu le label d’État « EPV Entreprise du patrimoine vivant » en 2012. Bien que les macarons soient la star de la boutique, on y retrouve d’autres confiseries comme les fameuses Bergamotes de Nancy. On vous recommande fortement d’y faire une pause gourmande !
De jolies rues et de jolis bâtiments
Les bonnes adresses
Brasserie L’Excelsior
50 rue Henri-Poincaré 54000 Nancy
Une superbe brasserie au style Art Nouveau, typique du mouvement architectural de la ville où il fait bon de passer le temps avant de reprendre le train. Toutefois, attention à l’addition.