Se rendre à Port-d’Envaux depuis Paris

4H30

4H30

465 km

Les Lapidiales
Rue des Lapidiales Les Chabossières, D119E2, 17350 Port-d’Envaux



4H30

4H30

465 km

Rue des Lapidiales Les Chabossières, D119E2, 17350 Port-d’Envaux


Se rendre à Sainte-Foy-La-Grande depuis Paris

5H50

4H00

615 km
Sainte-Foy-La-Grande fait partie des 8 bastides de Gironde. C’est le frère de Saint Louis qui en ordonne en 1253 l’édification, aujourd’hui l’une des mieux conservée de France. Il est agréable d’emprunter ses ruelles, de flâner sur sa place à couverts.
L’Office de tourisme abrite un musée d’archéologie locale. La ville a également consacré un musée de la batellerie, évoquant le commerce du vin transporté sur des gabarres et des couraux jusqu’à Libourne sur la Dordogne.

Se rendre à Saintes depuis Paris

4H20

4H10

470 km
Située au cœur de la Saintonge, la Ville de Saintes est bien connue pour son patrimoine gallo-romain mais aussi pour être une étape importante des chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Traversée par la Charente, celui-ci offre à la ville un lieu propice aux activités nautiques et de plaisance. Cette fois encore, nous avons parcouru Saintes à l’aide de Terra Aventura pour y découvrir tout ce beau patrimoine.


5H20

5H45

542 km
Voici l’un des plus jolis villages de Dordogne. Ses habitations sont accrochées aux falaises de la vallée de la Dordogne. Cette ancienne ville fortifiée était le lieu de repos privilégié des évêques de Sarlat. De nombreuses balades y sont possibles, une fois la voiture garée sur le grand parking (payant), nous avons suivi l’application Terra-Aventura pour découvrir les remparts et les petites ruelles escarpées du bourg.
En fin d’après-midi, le soleil éclaire la haute falaise frangée de chênes verts et ses demeures aux toits de lauzes d’une chaleureuse lumière.

Les glaces de L’Auberge des Platanes sont délicieuses et la terrasse offre un magnifique point de vue sur la Dordogne et ses Gabarres.
Cet imposant château est situé à Vezac, commune limitrophe de La Roque-Gageac. Fondé au 12e siècle, le site de la Malartrie était à l’origine un hôpital pour lépreux, mais il a subi de nombreux changements au gré des siècles. C’est à la fin du 19e que le Comte de Saint-Aulaire, ambassadeur de France en Angleterre, transforma le château dans le style renaissance qu’il arbore aujourd’hui. Pour anecdote, sa toiture a nécessité une colossale charpente pouvant ainsi supporter jusqu’à 500 kg au m².
En continuant un peu après le château, le petit chemin, offre un splendide panorama sur le village.
La visite des courtines est recommandée, la vue sur la vallée de la Dordogne est à couper le souffle.

Le 17 janvier 1957, un pan de la falaise s’éboule sur une partie du village, tuant trois personnes en détruisant six maisons et une grange, coupant la route et terminant sa course dans la Dordogne. En 2007, une stèle et une plaque ont été implantées au pied de la falaise à la mémoire des victimes de 1957.
Le chemin de gué passe par le corps de logis en équerre, et sa tour ronde. Des fenêtres à meneaux s’ouvrent dans la façade principale à pignon triangulaire. La tour ronde est couverte en lauze. L’édification de cette maison remonte au 15e siècle.
La courtine se prolonge en un sentier menant dans la forêt. Les ruelles dorées laissent place à une verdoyante forêt à la vue toujours aussi chouette. Il ne faut pas hésiter à se retourner pour en admirer davantage.
Retour au bourg, les ruelles sont calmes et très agréables.

Si le paradis existait sur terre, c’est surement ce décor qu’il aurait choisi, H. Miller le dit, G Dorin le fit : Gérard Dorin 1935 – 2014 — Créateur du jardin.
Depuis la route qui longe la Dordogne, il faut emprunter une petite ruelle où très vite palmiers, lauriers roses, bougainvilliers, mais aussi des cactus, des cocotiers, des bananiers… donnent le ton. Exposé plein sud, le village jouit d’un microclimat exceptionnel, la falaise renvoyant la nuit la chaleur emmagasinée le jour.
Depuis la route qui longe la Dordogne, il faut emprunter une petite ruelle où très vite palmiers, lauriers roses, bougainvilliers, mais aussi des cactus, des cocotiers, des bananiers… donnent le ton. Exposé plein sud, le village jouit d’un microclimat exceptionnel, la falaise renvoyant la nuit la chaleur emmagasinée le jour.
Un incroyable village, ressourçant, ou il fait bon s’y perdre.

Se rendre à Surgères depuis Paris

4H10

2H45

440 km
Célèbre grâce à la muse de Pierre de Ronsard, Hélène de Surgères, la commune de Surgères a connu un essor économique grâce à son industrie agroalimentaire. Considérée comme la « capitale laitière » du Centre-Ouest de la France, elle demeure dominée par les importantes écoles nationales d’industrie laitière et de meunerie. La cité fortifiée présente un intérêt tout particulier de par la conservation de ses différents édifices.
Aujourd’hui encore, la ville est connue et reconnue pour son beurre, au petit goût de noisette.
La ceinture fortifiée, longue de 600 mètres, date de la fin du 16e siècle. Cette enceinte murale, entourée de douves à l’origine, est flanquée de vingt tours dissemblables et est inscrite comme monument historique depuis 1925. Avec la tour isolée dans les jardins de la mairie et la porte Renaissance, les remparts constituent les restes de l’ancien château.
Isolée au milieu du parc, la Tour Hélène fait face au château et à la porte Renaissance. Elle est nommée ainsi en hommage à Hélène de Fonsèque, dame de Surgères et muse de Ronsard. Cette tour ronde est en fait un vestige de l’important château de pierre qui avait été édifié au cours du 12e siècle. Quant à la porte Renaissance, il s’agit d’une belle construction du 17e dont la décoration est empruntée au siècle précédent, celui de la Renaissance. Cette porte était destinée à marquer l’entrée du domaine privé du château.
Cet édifice de l’époque classique, postérieur à la construction de l’Intendance, est l’ancien presbytère occupé dès 1801 par la municipalité, puis acheté en 1861.
Ce remarquable édifice religieux est situé à l’intérieur de l’enceinte médiévale et offre une spectaculaire façade de 23 mètres de longueur ornée du pur style saintongeais roman.
Alors que cette magnifique façade menaçait ruine, elle a été sauvée d’une destruction certaine grâce à l’intervention énergique de Prosper Mérimée en 1841. Elle est depuis lors classée monument historique au même titre que les différents bâtiments civils situés à l’intérieur de l’enceinte fortifiée du château de Surgères.

Se rendre à Saujon depuis Paris

4H35

4H40

495 km
Traversée par La Seudre, Saujon vit au rythme de l’eau. Le port de Ribérou, autrefois port de commerce et aujourd’hui port de pêche et de plaisance, a gardé tout son charme. Son pont à écluses marque la séparation des eaux douces et salées. Empruntez les sentiers bordant La Seudre et profitez de leur calme.

53 Rue Carnot, 17600 Saujon

Se rendre au Buisson de Cadouin depuis Paris

5H20

5H45

542 km
Ce joli lavoir se situe Rue des Fontaines, en face du parking.
Certainement l’endroit le plus pittoresque de la ville. La place est jonchée de petits bars, cafés, restaurants et boutiques en tout genre. Un de nos endroits coup de cœur.
À Cadouin, l’abbaye cistercienne, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO comme étape sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, a conservé l’ensemble de ses bâtiments qui témoignent de l’évolution architecture et spirituelle depuis le 12e siècle.
En 1119, l’abbé de Pontigny envoie douze moines à Cadouin, où la construction de l’abbaye commence aussitôt. Elle sera terminée en 1154, date de sa consécration.
Dès son origine, l’abbaye possède une étoffe précieuse qui passa longtemps pour être le Saint Suaire.
Si la motivation vous en prend, n’hésitez pas à emprunter l’escalier étroit situé au 11 Rue de la Fontaine, celui-ci vous mènera aux terrasses supérieur offrant un magnifique panorama sur la ville.

18 Rue Albert de Veer, 24480 Le Buisson-de-Cadouin
Une jolie table à la cuisine traditionnelle et généreuse.
Sur la route venant de Bergerac et à 15km de Cadoun, nous vous conseillons une pause à Lalinde, la vue sur la Dordogne et la clocher de la ville en vaut le coup.