Le Fort Louvois est une fortification maritime du 17e siècle, édifiée sur un rocher immergé à marée haute, entre l’île d’Oléron et le bassin de Marennes. Sa construction, décidée par Louvois, ministre de la guerre de Louis XIV, est menée de 1691 à 1694 d’après les plans de Vauban. L’objectif est de croiser les tirs de canons avec la Citadelle d’Oléron pour défendre l’arsenal maritime de Rochefort. Dessiné en forme de fer à cheval, avec un donjon central protégé par un pont-levis et une douve, il rappelle les châteaux du Moyen-âge.
Ce joli lavoir se situe Rue des Fontaines, en face du parking.
Place de l’Abbaye
Certainement l’endroit le plus pittoresque de la ville. La place est jonchée de petits bars, cafés, restaurants et boutiques en tout genre. Un de nos endroits coup de cœur.
Eglise abbatiale de Cadouin et son cloître
À Cadouin, l’abbaye cistercienne, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO comme étape sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, a conservé l’ensemble de ses bâtiments qui témoignent de l’évolution architecture et spirituelle depuis le 12e siècle.
En 1119, l’abbé de Pontigny envoie douze moines à Cadouin, où la construction de l’abbaye commence aussitôt. Elle sera terminée en 1154, date de sa consécration. Dès son origine, l’abbaye possède une étoffe précieuse qui passa longtemps pour être le Saint Suaire.
Panorama
Si la motivation vous en prend, n’hésitez pas à emprunter l’escalier étroit situé au 11 Rue de la Fontaine, celui-ci vous mènera aux terrasses supérieur offrant un magnifique panorama sur la ville.
Un Air de Campagne
18 Rue Albert de Veer, 24480 Le Buisson-de-Cadouin
Une jolie table à la cuisine traditionnelle et généreuse.
LALINDE
Sur la route venant de Bergerac et à 15km de Cadoun, nous vous conseillons une pause à Lalinde, la vue sur la Dordogne et la clocher de la ville en vaut le coup.
Ce gigantesque parc de 9 hectares vous surprendra d’allée en allée. Il s’y trouve pas moins de six jardins différents comme ce magnifique jardin Anglais. Les espaces sont rigoureusement entretenus, les statues, animaux et espèces végétales créent cet espace exceptionnel.
Église Saint-Hilaire-Le-Grand
Cette magistrale église construite au 11e siècle est une étape des Chemins de Compostelle depuis le 12e siècle. Elle est inscrite à ce titre au Patrimoine Mondial de l’UNESCO. N’hésitez pas à emprunter le passage secret qui relie la rue du Doyenné et la rue Saint-Hilaire.
Préfecture de la Vienne
Hôtel de Ville de Poitiers
Sur cette vaste place se dresse fièrement ce bâtiment néo-renaissance datant du 19e siècle.
Baptistère Saint-Jean
Le baptistère Saint-Jean situé à Poitiers est un des plus anciens monuments chrétiens dont l’origine remonte à la deuxième moitié du 4e siècle, début du 5e siècle. Fortement remanié au cours des siècles, il est le bâtiment qui illustre le mieux la dépendance de l’architecture mérovingienne avec ses assises antiques, mais aussi l’abandon des principes classiques.Cathédrale Saint-Pierre-de-Poitiers
Cathédrale Saint-Pierre-de-Poitiers
À quelques pas du baptistère Saint-Jean se trouve la Cathédrale Saint-Pierre. Elle est de très loin l’édifice le plus imposant de Poitiers de par ses dimensions. Sa construction fut commencée vers la fin du 12e siècle sous l’impulsion d’Aliénor d’Aquitaine. Elle est de style gothique angevin, à l’exception de la façade, qui avec sa rosace et trois portails sculptés, suit l’influence du gothique de l’Île-de-France.
Pont Joubert enjambant le Clain
Cet endroit contraste avec les rues d’où nous venons. En longeant les quais, les voitures se font discrètes et la nature plus présente.
Palais de Justice de Poitiers
En longeant le Clain et le boulevard Bajon, nous arrivons devant le palais de justice, fraîchement sorti de ses travaux de restauration.
Chapelle du Sacré-Cœur
Ses premières pierres de moellons ont été posées en 1818, cette jolie paroisse de 22 m de haut jouxte le palais précédent visité, en remontant par la rue du Pré l’Abbesse.
Église Notre-Dame-la-Grande
Ses premières pierres de moellons ont été posées en 1818, cette jolie paroisse de 22 m de haut jouxte le palais précédent visité, en remontant par la rue du Pré l’Abbesse.Église Notre-Dame-la-Grande
Notre-Dame des Dunes
L’immense statue de bronze surplombant les falaises des Dunes est assurément le point le plus haut de la ville. Un point stratégie puisque c’est d’ici que le l’amiral de Coligny et ses troupes se trouvaient lors du siège de la ville en 1569. La vue sur la ville y est imprenable.
Située au cœur de la Saintonge, la Ville de Saintes est bien connue pour son patrimoine gallo-romain mais aussi pour être une étape importante des chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Traversée par la Charente, celui-ci offre à la ville un lieu propice aux activités nautiques et de plaisance. Cette fois encore, nous avons parcouru Saintes à l’aide de Terra Aventura pour y découvrir tout ce beau patrimoine.
Célèbre grâce à la muse de Pierre de Ronsard, Hélène de Surgères, la commune de Surgères a connu un essor économique grâce à son industrie agroalimentaire. Considérée comme la « capitale laitière » du Centre-Ouest de la France, elle demeure dominée par les importantes écoles nationales d’industrie laitière et de meunerie. La cité fortifiée présente un intérêt tout particulier de par la conservation de ses différents édifices.
Aujourd’hui encore, la ville est connue et reconnue pour son beurre, au petit goût de noisette.
Enceinte médiévale
La ceinture fortifiée, longue de 600 mètres, date de la fin du 16e siècle. Cette enceinte murale, entourée de douves à l’origine, est flanquée de vingt tours dissemblables et est inscrite comme monument historique depuis 1925. Avec la tour isolée dans les jardins de la mairie et la porte Renaissance, les remparts constituent les restes de l’ancien château.
Le Château
Isolée au milieu du parc, la Tour Hélène fait face au château et à la porte Renaissance. Elle est nommée ainsi en hommage à Hélène de Fonsèque, dame de Surgères et muse de Ronsard. Cette tour ronde est en fait un vestige de l’important château de pierre qui avait été édifié au cours du 12e siècle. Quant à la porte Renaissance, il s’agit d’une belle construction du 17e dont la décoration est empruntée au siècle précédent, celui de la Renaissance. Cette porte était destinée à marquer l’entrée du domaine privé du château.
L’ancien presbytère et la roseraie
Cet édifice de l’époque classique, postérieur à la construction de l’Intendance, est l’ancien presbytère occupé dès 1801 par la municipalité, puis acheté en 1861.
L’église Notre-Dame de Surgères
Ce remarquable édifice religieux est situé à l’intérieur de l’enceinte médiévale et offre une spectaculaire façade de 23 mètres de longueur ornée du pur style saintongeais roman.
Alors que cette magnifique façade menaçait ruine, elle a été sauvée d’une destruction certaine grâce à l’intervention énergique de Prosper Mérimée en 1841. Elle est depuis lors classée monument historique au même titre que les différents bâtiments civils situés à l’intérieur de l’enceinte fortifiée du château de Surgères.
À Royan, il est facile de se garer près de la plage du Chay, il faut longer la côte en passant par le bunker pour rejoindre le port de la ville. La balade côtière en vaut le coup, les pêcheries sont ravissantes.
Église Notre-Dame de Royan
Vertigineux. C’est ce qui décrirait le mieux cet immense bloc de béton de 66 mètres de hauteur. Sa grâce se trouve à l’intérieur. Les vitraux en forme de losange, l’orgue aux 3600 tuyaux, ses gigantesques verrières et même sa nef en forme de selle de cheval nous emmènent dans un autre monde. C’est incroyable.
Autour de 1475, Jehan II de Latour fait construire une forteresse composée de deux corps de logis, avec quatre puissantes tours et un donjon massif. Ce château fort, construit en forme de triangle sur un éperon rocheux, est naturellement défendu par le marais. Au nord, en avancée, la tour de la Fuye monte la garde.
Les extérieurs
L’intérieur
En 1603, Jacques de Courbon, ayant épousé Jeanne de Gombaud en 1595, libère totalement Romette d’une indivision de cent treize ans. C’est alors qu’accordant les vocables de La Roche et de Courbon, apparaît La Roche-Courbon qui sera désormais le nom du lieu. C’est au 17e siècle que le petit-fils de Jacques de Courbon transforme le château tel qu’il se trouve être actuellement.
Les grottes de La Roche-Courbon
Il faut s’éloigner du château en marchant quelques minutes pour accéder à un vaste réseau de grottes aux monumentales entrées. C’est là que s’installèrent, successivement, les hommes des époques moustériennes (120 000 ans), aurignaciennes ( 40 000 ans) et magdaléniennes (10 000 ans).
Les fouilles pratiquées ont permis de retrouver, dans une couche aurignacienne des grottes, le squelette d’un homme logiquement daté de cette époque ; mais des analyses récentes l’ont considérablement rajeuni puisqu’il a pu être précisé que cet homme est mort aux environs de l’an zéro de notre ère. Lui aussi est présenté dans le musée. Il est la charnière entre la Préhistoire et l’Histoire Un important mobilier de ces populations y a été trouvé.
Comptez environ 12,50€ par adulte pour la visite du château et des jardins
L’église Saint-Jean Baptiste telle qu’elle apparaît dans son architecture actuelle n’est pas une église très ancienne. Les nombreuses transformations et aménagements successifs au cours des âges en ont fait cependant le bel édifice actuel
Le clocher actuel a été construit de 1855 à 1859. Les nouvelles cloches pèsent respectivement 3.5 tonnes, 2 tonnes, 1.05 tonne, 420 kilos et 250 kilos.
Place Abel Surchamp
Cette place fait partie des huit bastides de Gironde. On y retrouve de nombreux commerces, logés sous les arcades, ainsi que son hôtel-de-ville, surmonté d’une imposante tour horloge. Abel Surchamp, qui a donné son nom à la place, fut le maire de la ville en 1882.
Quai Souchet
La Tour du Grand Port est l’une des tours de défense d’une ancienne porte ouverte dans le mur d’enceinte de la ville. Les travaux de fortifications de Libourne prirent leur plus grand développement sous le règne d’Edouard III. L’enceinte fortifiée fut commencée en 1281 et terminée en 1341. Ces remparts, flanqués de tours, étaient percés de huit portes dont les quatre principales s’ouvraient aux extrémités des deux grands axes de la ville. La porte du Grand Port, dont la construction remonte au 14e siècle, portait le nom de Porte Richard en l’honneur d’un fils du Prince Noir né à Bordeaux en 1366. Elle s’ouvre entre deux hautes tours rondes : la tour Richard et la tour Barrée. De la porte elle-même subsiste encore des restes importants. Elle formait un large couloir ogival muni de tous les moyens de défense. Seule de toutes les portes de l’enceinte, elle possédait un guichet s’ouvrant la nuit.
Il faut emprunter la petite Rue des Chais pour passer sous la porte et regagner le Quai Souchet.
En continuant sur fronton, on peut voir l’Isle se jeter dans la Dordogne d’un côté, ainsi que le magnifique pont de pierre de l’autre.